Tema og debat
Évreux
I dette afsnit af bogen kan der knyttes an til en række temaer. Vi laver en foreløbig liste med henvisninger til sider med disse temaer.
TEMA | Henvisninger til tekstsider i bogen | Henvisninger til sider/materialer mm |
Amitié/Relations familiales | Quand le jeune garçon a rejoint son père à Évreux, il a dû faire la connaissance de sa grande sœur, née d’une autre mère. (p.25) | |
Banlieues/Chômage/Drogues/Famille/couple | Issu d’une famille humble de la Madeleine, des trois amis, il est celui qui, pour le moment, semble s’être le mieux à affirmer. « Tout ce que je fais, c’est pour inspirer mes petits frères [il veut dire, les Noirs]… et tous les autres ! » (p.24) | |
Confiance en soi/Identité/Malaise des jeunes de 18-25 ans/Éducation | – Moi-même je me suis remis en question plus d’une fois. Qui suis-je ? On peut s’la poser cette question ! Moi et Axel on était dans un trou (il jette un œil à son cousin qui fixe le sol). (p.29) | |
Étrangers en France/Immigration/Racisme/Exclusion | les plus déterminés, ceux que l’on sent encore emplis d’une force qui pourrait déplacer des montagnes, ce sont « les autres », les Noirs, ceux qui sont venus de très loin et ont besoin de rassembler toute leur énergie pour s’inventer une nouvelle vie.(p.17) | |
Islam/Le voile/Musulmans/Religion | "Avec le temps, Caroline a vu ses anciennes élèves se voiler. « Dès l’adolescence, on ne peut presque plus se parler », ajoute-t-elle avec tristesse. Toutes ces jeunes filles ont été élevées dans la liberté, elle le sait, puisqu’elle y a contribué, puis elles font ce choix. Pourquoi ?" (p.32) | Le voile |
Les pauvres/Les SDF/Exclusion/Marginaux | Nous avons repris notre maraude. Dieudonné, pourtant avare de commentaires, insiste : « Personne n’est né pour se retrouver dans la rue, personne. » Il secoue la tête. « Ils ont leur dignité. On ne force personne à s’approcher de nous. Il faut respecter leur territoire. » (p.16) | Materiale om "Un homme debout" Materiale om les SDF |
Préjugés/Problèmes de la société/ | Tyson n’a pas peur des mots, les sujets graves ne l’impressionnent pas, il a toujours vécu le pire, en se débrouillant. Pour lui, ce qui se passe est une espèce de guerre civile. « En France, où tout le monde se regarde avec suspicion, on manque de re-con-nais-sance ! » (p.27) |